mardi 12 juin 2012

Le fluor : un poison cumulatif



Merci à Stéphane pour le document ci-dessous   

Extrait de ‘50 ARGUMENTS CONTRE LA FLUORATION’
par Paul Connett, Ph.D.
Dr. Paul Connett

Professeur de chimie à l'Université 
St- Lawrence, NY 13617, USA 

Le fluorure est un poison cumulatif. En moyenne, seulement 50% du fluorure ingéré chaque jour est excrété par les reins. Le reste s’accumule dans nos os, dans la glande pinéale, dans les autres tissus. Si les reins sont abîmés, l’accumulation de fluor augmente, ainsi que le danger.
Au niveau biologique, le fluorure est très actif, même à faible concentration. Il interfère avec les liaisons d’hydrogène (Emsley 1981) et inhibe de nombreuses enzymes (Waldbott 1978).
En se combinant avec l'aluminium, le fluorure interfère avec les protéines G (Bigay 1985, 1987). De telles interactions donnent aux molécules aluminum-fluorure la capacité d'interférer avec de nombreux signaux hormonaux, mais aussi avec quelques signaux neurochimiques (Strunecka & Patocka 1999, Li 2003).
Dans plusieurs études, on a démontré que le fluorure est un agent mutagène, qu'il endommage les chromosomes et qu'il interfère avec les enzymes nécessaires à la réparation de l'ADN (Tsutsui 1984; Caspary 1987; Kishi 1993 and Mihashi 1996). Des études récentes ont aussi trouvé une corrélation entre l'exposition aux fluor et le dommage chromosotique chez l'être humain (Sheth 1994; Wu 1995; Meng 1997 and Joseph 2000).
Le fluor forme des composés avec un grand nombre d'ions métalliques, incluant les métaux nécessaires pour le corps (comme le calcium et le magnésium), mais aussi avec les métaux qui lui sont toxiques (comme le plomb et l’aluminium). Ceci peut causer une variété de problèmes. Ainsi, le fluor interfère avec les enzymes où le magnésium est un important co- facteur, et il facilite l'absorption de l’aluminium et du plomb, dans les tissus où ces poisons n’iraient pas se loger autrement (Mahaffey 1976; Allain 1996; Varner 1998).
Des rats, nourris pendant une année avec de l’eau fluorée à 1 ppm de fluorure de sodium ou du fluorure d'aluminium, ont souffert de changements morphologiques aux reins et au cerveau, d'une accumulation accrue d'aluminium au cerveau et de formation de dépôts beta- amyloïdes, qui sont des caractéristique associées à la maladie d’Alzheimer (Varner 1998).
D'après l'EPA (Environmental Protection Agency ) et le NIEHS (National Institute of Environmental Health Sciences), le fluorure d'aluminiun est actuellement "hautement prioritaire en matière de santé" du à son "effet neurotoxique" notoire (BNA, 2000). Si le fluorure est ajouté à de l'eau contenant de l'aluminum, des composés de fluorure d'aluminum se forment.
Des expériences effectuées sur des animaux démontrent que le fluorure s'accumule dans le cerveau et qu'il altère le comportement mental de manière similaire à celui d'un agent neurotoxique (Mullenix 1995). Les rats dosés à un stade pré-natal démontrent un comportement hyperactif. Les rats dosés au stade post-natal démontrent un comportement hypo-actif (comportement léthargique). Des études plus récentes indiquent que le fluorure peut créer des lésions cervicales (Wang 1997; Guan 1998; Varner 1998; Zhao 1998; Zhang 1999; Lu 2000; Shao 2000; Sun 2000; Bhatnagar 2002; Chen 2002, 2003; Long 2002; Shivarajashankara 2002a, b; Shashi 2003 and Zhai 2003) et qu'il perturbe le comportement et l’apprentissage (Paul 1998; Zhang 1999, 2001; Sun 2000; Ekambaram 2001; Bhatnagar 2002).
Cinq études Chinoises établissent un lien entre l'abaissement du quotient intellectuel chez les enfants et l'exposition au fluorure (Lin Fa-Fu 1991; Li 1995; Zhao 1996; Lu 2000; and Xiang 2003a, b). L'une de ces études (Lin Fa-Fu 1991) indique que même des niveaux modérés d'exposition au fluorure (ex: 0,9 ppm dans l'eau) peuvent aggraver les troubles neurologiques causés par une carence en d’iode.
Des études menées par Jennifer Luke (2001) ont démontrées que le fluorure s’accumule dans la glande pinéale des êtres humains, à des niveaux pouvant être très élevés. Dans sa thèse doctorale, Luke a également démontré, à l'aide d'étude animales, que le fluorure inhibe la production de mélatonine et déclenche une puberté précoce (Luke 1997)..
Durant la première moitié du XXe siècle, le fluorure était prescrit par des médecins européens pour réduire l'activité de la glande thyroïde chez les personnes souffrant d'hyperthyroïdie (thyroïde hyperactive) (Stecher 1960; Waldbott 1978). (L’eau fluorée agit comme) un médicament thyro-dépresseur, ce qui pourrait favoriser une plus grande incidence d'hypothyroïdie (thyroïde sous-active) dans la population, avec tous les problèmes associés à ce trouble. De tels problèmes incluent la dépression, la fatigue, le gain de poids, des douleurs musculaires et articulaires, des niveaux accrus de cholestérol et des maladies du coeur
En Russie, Bachinskii (1985), trouva une diminution des fonctions de la thyroïde chez les personnes «en santé» buvant de l’eau fluorée à 2.3 ppm.
Certains des symptômes précoces de la fluorose squelettique (une maladie des os et des articulations, causée par le fluorure, dont souffrent des millions de personnes en l’Inde, en Chine, et en Afrique) sont analogues aux symptômes de l’arthrite. Selon une revue de la fluoration effectuée par Chemical & Engineering News: « puisque certains symptômes cliniques sont analogues à l'arthrite, les deux premières phases cliniques de la fluorose squelettique pourraient facilement être mal diagnostiquées » (Hileman 1988).
Selon l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR 1993) et selon plusieurs chercheurs (Juncos & Donadio 1972; Marier & Rose 1977 and Johnson 1979), sont particulièrement vulnérables aux effets toxiques du fluorure: les personnes âgées, les diabétiques et les personnes souffrant d’insuffisance rénale.
Sont également vulnérables ceux qui souffrent de malnutrition (ex: carence en calcium, magnésium, vitamine C, vitamine D, iodure et régimes faibles en protéines) (Massler & Schour 1952; Marier & Rose 1977; Lin Fa-Fu 1991; Chen 1997; Teotia 1998).
Le fluorure de sodium est une substance extrêmement toxique – à peine 200 mg d’ions fluorés suffisent à tuer un jeune enfant, 3-5 grammes (une cuillère à thé) suffisent à tuer un adulte.
Sourcehttp://www.ariane-services.com/vivredurable/IMG/pdf/Fluor_sante.pdf